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 Bergonié, Laura

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Léa Bergonié

Léa Bergonié
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Messages : 4

Bergonié, Laura Vide
MessageSujet: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeMar 23 Sep - 17:29


Fiche d'Identité

  • Nom : Bergonié

  • Prénom : Léa

  • Âge : 24 ans

  • Origine : France

  • Sexe : Regardez le prénom... Maintenant, osez me traiter de mec...

  • Sexualité : ...

  • Pouvoir :
  • Blood master
    Alors non, je parle pas de ceux d'Avatar. Mais je peux, au contact d'une personne, modifier la composition de son sang, et plus précisément celle de ses hormones. Ce qui permet notamment de provoquer des malaises vagaux, des bouffées de chaleur, ou au contraire, de doper le coeur... ou même de faire ouvrir les sphincters vésicaux... Bon, faut être au contact, hein, et honnêtement être au contact de quelqu'un qui "s'oublie", j'ai pas envie. Etonnament, je ne peux pas modifier MES hormones, probablement en raison de ma pompe et de l'absence d'une glande capitale dans la production hormonale
    Les effets secondaires provoqués chez moi sont des migraines, probablement dues au fait de devoir me concentrer, ainsi que des douleurs aux seins, aux ventre, et des saignements  vaginaux normalement impossibles, puisque je ne suis plus équipée de ce côté.
 

Anatomie

Je suis une femme de grande taille (près d'1,75m), fine, aux longs cheveux roux, me tombant dans le dos, et aux yeux d'un bleu clair ensorcelant. C'est bon, vous avez fini de rêver/baver/me traiter de Mary Sue? Bon, alors on reprend.

Je n'ai pas menti, je suis effectivement grande et fine (je m'habille toujours en 36). Mais pour autant, je ne suis pas à l'aise avec ce corps et j'ai tendance à rentrer les épaules, et encore parfois à baisser le regard. J'ai une poitrine assez menue, mais ceux qui s'amusent à mater risquent de voir leur regard attiré par le petit cercle, juste au dessus du sein droit, sous ma peau. Ce petit cercle qui, ajouté au second, moins visible, sur mon flanc droit, aux autres cicatrices, notamment dans mon dos et sur mon ventre, font que je ne m'exhibe pas sur la plage en maillot. Quand à mon poids, j'avoue que j'essaie VRAIMENT de prendre du poids.

Pour mes cheveux, c'est pareil, je suis vraiment rousse, la couleur de mes sourcils en atteste... Ou pas, vu que c'est un tatouage, et mes cheveux une perruque. De bonne qualité, qui tient bien, et ne s'envole pas au premier coup de vent, mais une perruque quand même, et je n'ai rien en dessous. Évidemment, elle n'a pas la même maniabilité que deux vrais cheveux, aussi ne puis-je l'attacher que de façon lâche, pour ne pas l’abîmer. La frange a été choisie de manière à pouvoir cacher mes yeux, à l'époque ou je n'aimais pas qu'on les voie.

Aujourd'hui, je me sens plus à l'aise avec mes yeux, maintenant que je ne saigne plus régulièrement des capillaires de l'oeil, ce qui me donnait un air d'albinos. A cause de ces saignements, je ne pouvais pas mettre de lentilles pour corriger une légère myopie. Comme cette période est derrière moi, j'ai dès que j'ai pu choisi cette méthode (bien plus pratique que les lunettes, et moins inconfortable), et me suis même offert le luxe de me choisir des lentilles de couleur, pour dissimuler mes iris marrons clair, altérés par les médicaments et piquetés de jaune. Bon, on m'a dit que le bleu, ça faisait cliché... Mais ma mère avait les yeux de cette couleur, quoique plus nuancé de gris, et ça me plaisait bien.

Pour le reste, que dire? Je crois que je suis plutôt normale. Une bouche que ma tutrice qualifie souvent de "mélancolique", des mains que je trouve trop courtes, des jambes qui commencent à se muscler à force de courir dans les bois ou au laser quest. Ah, oui, et pas mal d'éraflures et écorchures récoltées en forêt.

La tenue que je portais au moment de mon kidnapping? Ma tenue de détente. Un Jean confortable, avec un papillon cousu sur les jambes (non, pas un vrai, idiots...), un Top moulant noir (trouver des T-shirt non moulants est une plaie, par moments, et je ne suis pas fan du shopping, alors j'achète ce que je trouve), probablement un pansement ou deux sur des écorchures récentes, et mon sac de sport, un sac à dos qui a fait la guerre. Et des chaussures de sécurité noire, aussi. Elles sont confortables, tiennent la cheville, peuvent se faire rouler dessus par un charriot sans que mes pieds ne soient blessés... Et surtout elles étaient gratuites, ce qui n'est pas le cas des chaussures de marche qu'on trouve en magasin. Ah, oui, et des mitaines, normalement, à moins qu'elles ne soient restées dans mon sac.

Caractère

De mon point de vue, je suis timide, limite soumise. Trop souvent rejetée, je me vois moi même comme une gêne pour les autres, et ma confiance en moi est quasi nulle. Et pourtant, mes patients m'apprécient. Ils me disent empathe, capable de deviner leurs besoins, et me remercient souvent pour mes "petites attentions" qui font passer plus facilement l'examen. Je sais par l'un des rares collègues qui m'apprécie (il me connaît d'avant l'époque où je ne venais plus à l’hôpital qu'en stage, ça aide) qu'on apprécie ma tendance à sourire facilement, et à sincèrement me préoccuper des autres. Sincèrement, j'y crois pas. J'ai surtout soif de reconnaissance. Étonnamment, je n'ai aucune difficultés à me faire obéir, même avec ceux que l'on qualifie de patients difficiles, viandes saoules des urgences, taties Danielle arthritiques ou pleurnichards en shorts. Une preuve de mon empathie, d'après mon collègue. En vérité, ils me cassent les pieds, mais je n'ai pas le courage de le dire, de sortir de mon personnage de gentille cruche.

Il n'y a qu'avec mes amis, hors de la classe et de l’hôpital que je me sens un peu plus à l'aise. Je réussis à sourire, et même à prendre la parole sans rougir, et même parfois à répondre aux taquineries. Même si je suis toujours celle qui suit les ordres, il m'arrive parfois de proposer des tactiques, pas forcément originales, mais d'après mon frère adoptif, c'est un progrès. Je garde cependant un certain nombre de principes, tels que la ponctualité (Marc dit que j'ai surtout peur d'être en retard), la correction de la tenue, ou le respect de certaines règles "de sécurité": Ne pas donner d'informations personnelles sur Internet, regarder à droite et à gauche avant de traverser, ou ne pas prendre de gâteau quand on est un foutu diabétique... Je suis aussi assez maniaque de l'hygiène et de l'ordre. En même temps, quand la moitié du temps que j'ai passé à l’hôpital est du à des IAS (infections associées aux soins, vulgairement maladies nosocomiales), j'pense avoir des raisons.

Côté goûts, j'aime lire, et faire du jeu de rôle. Être quelqu'un d'autre, pouvoir être courageuse, même si je ne le suis pas en vrai. Lors de mon adolescence, je m'en servais pour oublier la maladie, et pour vivre à une époque où je craignais de mourir avant ma majorité. On pourrait penser qu'être une "survivante" m'a appris à apprécier la vie, à voir du premier coup ce qu'elle a de beau. Étrangement, pas tant que ça. J'aime être dehors, par contre. Courir, me rouler dans la boue (surtout quand je sais que je peux me doucher derrière), arme d'air soft au poing, et... pour faire simple, rattraper ces jeux qui m'étaient interdits, enfant.
Manies
Je l'ai déjà mentionnée, je suis assez maniaque de la propretée. A l'hopital ou même à la maison, je me lave les mains, comme tout le monde en sortant des toilettes, avant de manger et tout, mais j'y ajoute l'utilisation de SHA, comme on dit dans le milieu, ces petites bouteilles de liquide bleu à l'odeur alcoolisée. Également, j'ai l'habitude, à mon travail, de ranger les médicaments, les cassettes, et autre de façon rangée, propre. Comme tic plus couramment visible chez moi, je me mordille souvent la lèvre, quand je réfléchi.
Histoire
Mon histoire commence comme celle de tout le monde: Une maman, un papa, une nuit torride... Bon, le mien de père s'est tiré quand il a su ma mère enceinte. Elle possédait un snack bar, apprécié des collégiens d'à côté. Elle m'a élevée seule, râlant souvent contre mon père, et supportant difficilement mes conneries de gosse. J'irais pas dire que j'étais une gosse battue, faut pas rêver. Mais ma mère l'avait été, et... disons qu'elle estimait que la douleur ne faisait pas de mal au caractère. Les douleurs de « grandissage », vous connaissez ces douleurs osseuses, quand on est enfant ? J'ai bien vite appris à cesser de m'en plaindre quand elles me réveillaient la nuit, sachant très bien ce qu'en dirait ma mère : « ce qui ne tue pas rend plus fort, et on est jamais mort de grandir. » J'avoue aussi qu'elle avait la main leste, estimant qu'une paire de gifle, une heure au coin ou une fessée étaient des punitions plus aisées, rapides à appliquer. Et effectivement l'institutrice me trouvait globalement plus « sage » que nombre de mes camarades. On était pas riches (maman avait le snack à payer, et travaillait dur), mais dans l'ensemble, j'étais pas malheureuse.

C'est quand j'ai eu 7 ans que les choses ont commencé à se gâter. Ça avait commencé par des migraines persistantes, surtout le matin, des sautes d'humeurs me poussant à des colères (et aux punitions allant avec, de plus en plus fréquentes), et des chutes. Ma mère, convaincue que je faisait du cinéma (elle avait commencé à sortir avec quelqu'un, et je l'aimais pas), pensait que je voulais éviter l'école, et que je tombais lors de jeux, abîmant régulièrement mes affaires. Ce n'est que le jour où l'infirmière scolaire m'a vu tomber qu'on a commencé à comprendre qu'il y avait un soucis d'équilibre. Ma mère m'accompagna donc chez le médecin, qui nous interrogea longtemps, et c'est lui qui posa en premier sa suspicion. J'ai déjà dit que me mère était dure, et plus prompte à gronder qu'à faire un gros câlin. Mais honnêtement, elle m'aimait vraiment. L'horreur quand elle s'était rendu compte que j'étais peut-être malade, et pas juste capricieuse et maladroite me l'avait prouvé. Ses larmes et son étreinte (la première depuis longtemps) également.

Trois mois plus tard le diagnostic était posé: médulloblastome. Une tumeur cérébrale, difficile à traiter à cause de l'endroit où elle était placée. Le meilleur moyen de survie consistait en une opération, mais le chirurgien recommandé pour ça à ma mère pratiquait des dépassements d'honoraires prohibitifs, et ma mère faisait partie de ce qu'elle nommait les ignorés du système: trop pauvre pour payer une mutuelle performante, trop riche pour avoir droit aux aides de l'état. Trop jeune à l'époque et ayant surtout très bien compris que contrairement aux douleurs de "grandissage", le cancers pouvait me tuer, je m'étais renfermée sur moi même, passant de la colère aux larmes en quelques minutes. Je n'ai donc que peu de souvenirs de cette période.

Finalement, j'eu droit à l'opération. Sauf que quand je me suis réveillée, c'était pas ma mère qui était au pied de mon lit, mais une assistante sociale. Qui me pensait au courant, et est tombée de haut quand elle s'est rendue compte que je n'étais pas DU TOUT au courant que ma mère m'avait abandonné. Je sais pas si vous avez déjà vécu des annonces difficiles, mais il y a des manières de l'annoncer. Un docteur qui se pointe dans une chambre, déclare "bon, monsieur, vous avez un cancers, bonne journée" et se casse, c'est une annonce foireuse. Ben l'assistante sociale, sur une échelle de 1 à 10 en annonces foireuses, elle était à 8 facile! A l'époque, j'ai pris ça comme un rejet, comme la preuve que je n'étais pas assez bien pour ma mère, qu'elle ne voulait plus de moi. Il m'a fallu plus de 12 ans pour comprendre ses motivations, et deux ans de thérapie pour commencer à l'accepter. Mais bon, vous je vous spoile...

Sachant que je n'avais pas droit aux soins performants, malgré mon âge, et à cause de sa pauvreté, ma mère avait essayé d'abord de trouver des fonds. Son prêt à la banque avait été refusé, même avec une hypothèque sur le bar. Mon géniteur, qu'elle avait retrouvé l'a envoyé paitre (visiblement violemment). Elle avait fini par décider de faire le "mieux" pour moi: renoncer à ses droits parentaux, en sachant que les enfants sous tutelle de l'état avaient droit à des aides qu'elle même ne pouvait m'offrir. Je ne l'ai jamais revue, mais je pense encore qu'elle ne se sentait pas capable de me gérer, surtout qu'on l'avait prévenue qu'il pouvait y avoir récidives et séquelles neurologiques irréversibles.

Après l'opération, je déménageais dans un foyer pour jeunes médicalisé, pour poursuivre le traitement de chimiothérapie et radiothérapie qui m'attendait. Malgré les efforts de l'équipe encadrante, on ne peut pas dire que l'ambiance était merveilleuse. Le foyer n'était pas prévu vraiment pour y vivre sur le long termes, et tout le monde le quittait relativement vite, que ce soit guéri, ou dans une caisse. Il y était donc assez difficile de se faire des amis, d'autant plus qu'il y avait une certaine tension entre ceux dont le pronostic vital était mauvais, et ceux dont il était prévu qu'ils se remettent vite, ou déjà en rémission. Moi, mon pronostic était bon, mais je supportais très mal le traitement, au point qu'il a fallu réduire les doses, espacer les séances, et prendre ainsi bien plus de temps. Je passais même plusieurs mois au sein même de l’hôpital, avec une aiguille plantée dans un dispositif dans ma poitrine pour me nourrir, à une époque où je ne gardais rien.

Pendant trois ans, je vécu au foyer, alternant avec l’hôpital. Ensuite, je fus transférée en famille d'accueil, devant tout de même rester sous surveillance médicale pendant 5 ans au moins, et sous dialyse, pour aider mes reins à récupérer de la chimio, pour encore un an. A cette époque déjà, l'adolescente de douze ans que j'étais restait timide, effacée, détestant les conflits. Entrer dans un collège normal fut une épreuve pour moi, d'autant que l'enseignement en petits groupes du foyer m'avait permis de sauter une classe. La maladie et la mort forcent à grandir vite, mais par mon âge, j'étais considérée comme une fillette par des gens que j'estimais moi même complètement immatures. J'avais donc beaucoup de mal à accepter l'immaturité de mes camarades de classe, leurs plaintes à propos de leurs parents, les phénomènes de groupes... Et leurs moqueries à mon égard, moi qu'ils voyaient quitter le collège trois après midi par semaine, qui étais dispensée de sport, et "autorisée", dans une moindre mesure, à rendre des devoirs en retard. Ces petites choses que les plus âgés du foyer médical nommaient "cadeaux cancers". N'osant en parler, je subis ces moqueries pendant 2 années, et, avouons le, ça ne m'aida pas à récupérer correctement.

A l'âge de 13 ans, les examens montrèrent une nouvelle tumeur au cerveau, à l'hypophyse, une récidive contre laquelle on m'avait mis en garde. La décision fut prise, pour ma sécurité, d'enlever la tumeur, mais aussi de m’ôter ovaires et utérus, les médecins craignant que je ne développe des cancers du sein ou des ovaires à cause d'un trop haut taux d'hormones hypophysaires. A l'époque, je venais d'avoir mes règles, ça faisait un mal de chien, et je ne pensais pas avoir d'enfants. J'acceptais sans difficultés, malgré les réticences de ma tutrice (en vérité la mère de ma famille d'accueil, mais je n'ai jamais pu la nommer ainsi). Je retournais donc à l’hôpital, et eu la surprise de voir, la veille de mon opération, Marc Erwen, l'un des chefs de classe, et jamais le dernier à se moquer de moi. Je m'attendais à des paroles blessantes, mais en vérité, il fut le seul à avoir le cran de s'excuser, arguant leur ignorance de ma situation avant qu'un prof n'entende certains de leurs propos, et leur explique pourquoi j'avais quitté l'école 3 semaines avant la fin officielle des cours, sans pour autant me demander de lui pardonner. Méfiante, je ne le crut pas. Pourtant, pendant ma convalescence, et même après, il vint me voir quotidiennement, m'aida aux devoirs, et lorsque je revint à l'école, essaya de m'aider à me réintégrer.

Malgré l'aide de Marc, je restais assez solitaire, méfiante, et passait mon adolescence dans cette neutralité, en marge de la classe, ne voulant pas non plus attirer la pitié. Je subis plusieurs autres hospitalisations, à cause d'une infection qui obligea à m'opérer pour changer ma CIP, puis une nouvelle cure de chimio, et enfin, la pose d'une pompe dans le flanc droit, chargée de m'approvisionner en hormones de synthèses, destinée à me débarrasser des cachets à prendre à vie.

A quinze ans, j'étais déclarée tirée d'affaire, cependant, je du redoubler pour rattraper le retard du à mes absences. A 18 ans, le bac en poche, j'entrepris une première année de médecine, ayant passé tant de temps à l’hôpital que je m'y sentais comme chez moi. Redoublante, je passais alors le concours de manipulateur radio, intégrait leur école et obtint mon diplôme en 2163.

Dans le même temps, j'entamais une thérapie, sur conseil d'un professeur. Mon frère adoptif (lui j'ai jamais eu de mal à le qualifier ainsi, étrange, non? Pourtant ma tutrice est adorable, hein...) décida, pour mon bac, de m'emmener avec lui et ses amis sur un jeu grandeur nature. Je me rends compte que j'ai quasiment pas parlé d'Aiden... Orphelin comme moi, quoique de deux ans plus âgé, il a pourtant été d'un grand secours pour moi. Au courant de mes difficultés à l'école, et sachant que je ne voulais pas que les profs s'en mêlent (ils auraient fait quoi? Ordonné aux autres d'être gentil avec moi?), il me fit découvrir le jeu de rôle, histoire qu'au moins je m'amuse en dehors. J'aimais déjà lire, j'appris à écrire. J'appris aussi à fréquenter son association de jeu, et à jouer avec des gens, souvent bien plus âgés que moi pour qui je n'étais ni plus ni moins que "la petite sœur d'Aiden". Donc, pour mon bac, il m'emmena en grandeur nature, avec des armes d'air soft. J'adorais ça. Courir, me planquer, tirer... J'y retrouvais les jeux de rôle, mais en plus ça me défoulait. Je m'y mis donc petit à petit, dépensant mon salaire de vacances d'été dans des répliques, des lunettes de protections, des billes (Laurent, propriétaire d'une ferme où nous jouions modifia d'ailleurs ces dernières, pour les rendre plus lourdes que légalement, de façon à ce que les coups soient plus réalistes. Il modifia aussi les armes en conséquences), et y passait une grande partie de mes week ends, gagnant peu à peu en assurance, en parallèle de ma formation.

Et voilà où j'en suis. Depuis un an, je suis professionnelle, travaillant comme remplaçante dans l’hôpital qui m'a soignée. Je suis toujours célibataire, et on ne peut pas dire que Laurent aide avec ses menaces dès qu'on me tourne autour... Marc s'est aussi mis à l'air-soft, et nos relations sont plus amicales. Et puis il a fallu qu'un connard me kidnappe!

Inventaire

Lors de mon kidnapping, je rentrais de chez Laurent. Je lui avais laissé la valise de sniper (mon arme favorite!), mais j'avais encore, dans un sac à dos mon compact 45 à ressort, et le beretta automatique à piles rechargeables que Marc m'a offert pour mon anniversaire. 2 biberons de 2000 billes (1 pour chaque arme, vu que le compact 45 tire des billes plus grosses que le beretta) un peu plus d'à demi plein, mes lunettes de protections, mon survêtement de sport, des mitaines, le chargeur (électrique) du beretta, une bouteille de sha, un flacon de shampoing douche, un déo... Également à la ceinture, de l'autre côté de mon téléphone, une petite pochette avec mes papiers d'identité, ainsi que la license de mes armes d'air soft. Pas obligatoire, mais préférable si on tombe sur les flics.

Toi toi mon toit...

  • Avatar :
    Spoiler:

  • Parrain/Marraine ? Non

  • Rang souhaité : ...



  • Ton Pseudo : Lauranna Arreyss

  • Ton Âge :  Majeure, vaccinée, et trop vieille pour avoir la 12-25 dans le train!

  • Disponibilités : dépendantes de mes stages

  • Tu fais du RP depuis combien de temps ? 7 ans sur forum, 4-5 ans sur table.

  • Comment as-tu connu le forum ? topsites, il y a quelques mois. Hier, je suis tombée sur une image qui m'y a fait penser, donc j'ai créé mon perso

  • Un commentaire ? finalement je sais toujours pas si ce forum est actif...


Dernière édition par Léa Bergonié le Jeu 25 Sep - 12:31, édité 1 fois
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Liam Roy

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeMer 24 Sep - 18:26

Bonjour et bienvenue!
Comme répondu dans la question en FAQ, notre fonda a eu des soucis donc en effet, on n'est pas au summum de l'activité, mais personnellement je passe régulièrement (:
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Léa Bergonié

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeMer 24 Sep - 18:44

*a posté sa fiche AVANT d'avoir sa réponse ^^"*

Merci pour ton accueil. Je suppose donc que je dois attendre son retour, pour avoir un feedback sur ma fiche?
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Liam Roy

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeSam 27 Sep - 23:17

Si je n'ai pas de nouvelles bientôt, je jetterai et elle me tapera sur les doigts, c'est pas grave, je suis à croquer (;
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Léa Bergonié

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeSam 27 Sep - 23:56

Euh? En tant que modérateur, tu ne peux pas dire s'il y a des détails à corriger? C'est juste ça, hein... ^^"
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Jemma Rivers

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeMar 30 Sep - 9:41

Welcome =)

J'ai beaucoup apprécié ton style direct ainsi que ton histoire, même si ton perso a une vie difficile et que ça ne va s'arranger ici ^^"""" ! On a de l'empathie pour ton perso et on ne peut nier son "courage", sa force et son envie de survivre (surtout qu'on pense que c'est la réalité pour les d'enfants cancéreux... et mêmes pour les adultes d'ailleurs).

Enfin, point de vue rp, ça sera intéressant de voir les complications, ça va intensifier la notion "survie" !

Vivement donc !

PS: Ginger  Smile  !


Dernière édition par Jemma Rivers le Mar 7 Oct - 22:25, édité 1 fois
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Léa Bergonié

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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitimeMar 30 Sep - 18:08

Euh... Ale?

C'est effectivement très difficile. Après, mon personnage est "tiré d'affaire", même si elle sera obligée de suivre un traitement (hormonal notamment) à vie. Et peut avoir des séquelles, infections de la CIP ou de la pompe, autres cancers, rhumes (si elle se balade sans sa perruque, c'est pas que pour faire joli)...
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MessageSujet: Re: Bergonié, Laura   Bergonié, Laura Icon_minitime

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